M. Souihli a exprimé son "appréciation" quant aux efforts de l'Algérie pour contribuer à une solution politique de la crise libyenne et a exposé les différents défis auxquels fait face son pays.
Il a fait part aussi de la disponibilité du Haut Conseil d'Etat qu'il préside à entamer le dialogue à travers le mécanisme prévu par l'Accord politique pour "apporter les amendements et permettre à la Libye de dépasser l'impasse actuelle".
De son côté, M. Messahel, tout en réitérant la position de l'Algérie sur la question libyenne basée sur la solution politique à travers le dialogue inclusif et la réconciliation nationale, a souligné qu'il s'agit là de "la seule voie pouvant permettre à la Libye de retrouver la paix et la stabilité".
"C'est pourquoi l'Algérie a toujours œuvré à accompagner les frères libyens dans leur quête d'une solution politique, dans le cadre de l'Accord politique libyen de décembre 2017, dont la mise en œuvre consensuelle reste décisive", a-t-il ajouté.